Posée comme cela, en titre, la question des malheureux écrivains peut prendre deux sens distincts, selon que l’on mette ou pas la charrue avant les boeufs. Lien direct de cause à effet ou son contraire, la question ovoïdo-gallinacée (1) du triste destin de ceux qui écrivent laisse songeur. Pour le bien-être de ces malheureux que nous affectionnons tant, au point de vouloir être des leurs, creusons, non pas la tombe, mais le sujet hautement existentiel afin d’en conjurer le sort. Lire la suite »
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